Grâce à la puissante baisse des taux de crédits immobiliers au second trimestre 2013, le montant des prêts immobiliers contractés par les ménages a augmenté de 35%.
Depuis ce début d’année le secteur de l’immobilier se reprend timidement. Après un recul de 8.7% du montant des prêts accordés au premier trimestre, le second trimestre a meilleure mine : 35,3% d’augmentation du montant total prêté par les banques (y compris la part de rachat de crédit). Ce mouvement est nuancé par Michel Mouillard de l’Observatoire CSA/Crédit Logement, auteur de l’étude, car même si le secteur de l’immobilier reprend de l’activité, il n’en est pas à sa situation d’avant crise.Si le montant total prêté par les banques est en augmentation de 35%, le nombre de crédits accordés lui est en recul de 7,6% sur une année en moyenne et 18,4% dans l’ancien. En effet, la nouvelle réforme du Prêt à taux Zéro, entrée en vigueur au 1er janvier, a contribué au recul du nombre de crédit contracté car elle est réservée aux logements neufs qui répondent à un certain niveau de performance énergétique, autrement dit, peu accessible aux ménages les plus modestes.Le marché de la revente est bloqué, c’est-à-dire que les ménages n’arrivent pas à vendre leur ancien bien avant d’en acheter un nouveau.
Depuis ce début d’année le secteur de l’immobilier se reprend timidement. Après un recul de 8.7% du montant des prêts accordés au premier trimestre, le second trimestre a meilleure mine : 35,3% d’augmentation du montant total prêté par les banques (y compris la part de rachat de crédit). Ce mouvement est nuancé par Michel Mouillard de l’Observatoire CSA/Crédit Logement, auteur de l’étude, car même si le secteur de l’immobilier reprend de l’activité, il n’en est pas à sa situation d’avant crise.Si le montant total prêté par les banques est en augmentation de 35%, le nombre de crédits accordés lui est en recul de 7,6% sur une année en moyenne et 18,4% dans l’ancien. En effet, la nouvelle réforme du Prêt à taux Zéro, entrée en vigueur au 1er janvier, a contribué au recul du nombre de crédit contracté car elle est réservée aux logements neufs qui répondent à un certain niveau de performance énergétique, autrement dit, peu accessible aux ménages les plus modestes.Le marché de la revente est bloqué, c’est-à-dire que les ménages n’arrivent pas à vendre leur ancien bien avant d’en acheter un nouveau.
Quelles conséquences ?
Le montant du crédit doit être plus important car les ménages voient de ce fait leur apport personnel diminué. Il représenterait aujourd’hui